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"Aïe, mes aïeux !” : pourquoi raconter son histoire libère aussi les générations futures

"Aïe, mes aïeux !” : pourquoi raconter son histoire libère aussi les générations futures

À la lumière des travaux d’Anne Ancelin Schützenberger et de la psychogénéalogie

« Ce qui n’est pas exprimé, s’imprime. »
 — Anne Ancelin Schützenberger, Aïe, mes aïeux !

On croit souvent que ce qui est tu disparaît. Que les silences protègent. Mais la réalité est plus complexe — et souvent plus douloureuse. Les secrets de famille, les traumatismes non verbalisés, les histoires inachevées peuvent marquer nos vies, même si nous ne les connaissons pas consciemment.
C’est ce que démontre la psychogénéalogie, une approche développée par Anne Ancelin Schützenberger dans son livre fondateur Aïe, mes aïeux !. Et c’est ce que memoirƨ aide à dépasser, en rendant possible un acte simple mais essentiel : raconter.

L’héritage invisible : les fantômes du silence

Anne Ancelin Schützenberger a longtemps travaillé avec des patients porteurs de souffrances inexpliquées. Ce qu’elle a découvert : nous rejouons parfois les drames non résolus de nos ancêtres, sans même le savoir.
« Nous portons dans nos cellules, dans notre inconscient familial, l’écho d’événements dont nous ignorons tout. »
Un grand-père disparu trop tôt, un oncle dont on ne parle jamais, un enfant mort-né rayé des arbres généalogiques… Ces non-dits laissent une trace. Ils créent ce qu’elle appelle des “loyautés invisibles” : des fidélités silencieuses à des histoires qu’on ne connaît pas, mais qui nous gouvernent malgré nous.

Parler, c’est guérir — pour soi, et pour les autres


Heureusement, il est possible de briser la chaîne. Et cela commence par le récit. Dire, écrire, nommer. 

« Ce qui est mis en mots peut cesser d’être mis en maux. »

C’est l’un des grands enseignements d’Aïe, mes aïeux ! : la parole libère. Exprimer son histoire, même dans ses zones d’ombre, permet de redonner du sens à ce qui semblait absurde, et parfois de rompre des schémas familiaux inconscients.

Transmettre pour apaiser les lignées


Le récit de soi ne sert pas seulement à se connaître : il répare aussi la mémoire familiale. En parlant de ce qu’on a vécu, de ce qu’on a compris ou traversé, on ouvre des chemins de compréhension pour les générations suivantes.

« Ce que les parents taisent, les enfants le portent. »


Raconter son histoire, c’est donc alléger le poids du passé que d’autres auraient pu porter à notre place. C’est un cadeau de clarté, un acte de responsabilité affective et symbolique.

memoirƨ : un outil pour mettre en mots ce qui devait être tu


C’est dans cet esprit que memoirƨ a été conçu : pour permettre à chacun de raconter son histoire, sans expertise, sans jugement, mais avec guidance et bienveillance. Grâce à des questions inspirées par les sciences humaines, notre outil vous aide à revisiter votre vie, vos souvenirs, vos choix, vos douleurs et vos joies — et à en faire un livre ou un récit audio à transmettre.


Vous pouvez y évoquer ce qui a été dit, et ce qui ne l’a pas été. Mettre des mots là où, parfois, il n’y avait que des silences.

Un héritage vivant, conscient, libérateur

  • Pour soi, en donnant du sens à son parcours.

  • Pour ses enfants et petits-enfants, en éclairant les zones d’ombre.

  • Pour la lignée entière, en transformant les loyautés invisibles en paroles visibles.

Comme l’écrivait Schützenberger :
« Ce n’est qu’en acceptant de regarder en arrière que l’on peut avancer librement. »